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Inga, la solution pour éclairer (enfin) l’Afrique

  • Date de création: 25 septembre 2011 15:10

(Agence Ecofin) - Le potentiel total du site d’Inga, c’est deux fois la puissance installée du fameux barrage chinois des Trois Gorges. Il peut fournir de l’électricité de l’Afrique du Sud à l’Egypte.

Les énergies fossiles montrent leurs limites, tant du point de vue des réserves que des conséquences environnementales. L’énergie nucléaire est remise en cause par la catastrophe du Japon, après celle de Tchernobyl. Les biocarburants doivent laisser la  priorité à l’alimentation sur des terres cultivables. Le solaire et l’éolien n’offrent pas les capacités suffisantes…

C’est de la RDC que pourrait venir la meilleure solution au déficit énergétique qui plombe la croissance économique du continent. Sa riche hydrographie  lui confère un potentiel hydroélectrique estimé à 106 000 MW, soit 37% du potentiel total du continent africain et près de 6% du potentiel mondial. Le site d’Inga représente à lui seul 44% de ce potentiel.

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Après Inga I et Inga II, l’objectif est aujourd’hui de lancer Inga III, prélude à l’édification du plus grand
barrage hydroélectrique du monde, deux fois le gigantesque barrage chinois des Trois Gorges : Le Grand Inga.

Le dossier

Il faut d’abord réhabiliter Inga I et II…

Inga III : l’étape transitoire vers le Grand Inga

Le Grand Inga, un projet à la dimension du continent

Des conséquences environnementales à intégrer


Il faut d’abord réhabiliter Inga I et II…

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Faute de réhabilitation Inga 1 et 2 ne fonctionnent qu’à 40% de leurs capacités réelles. 

La centrale Inga I a été mise  en service en 1972, sa puissance installée est de 351 MW, avec une hauteur de chute de 50 mètres ; tandis que Inga II est opérationnel depuis 1982 avec une puissance installée de 1429 MW sur une hauteur de chute de 58 mètres.

Il faut toutefois signaler que ces infrastructures de production d’énergie sont dans un état de dégradation avancée, faute de réhabilitation, et ne fonctionnent qu’à 40% de leurs capacités réelles. C’est pourquoi, le gouvernement congolais mobilise les partenaires bilatéraux, multilatéraux et privés dans le cadre de la libéralisation du secteur, en vue d’atteindre les objectifs visant l’accroissement du taux de desserte nationale en électricité et la distribution de l’énergie à grande échelle des autoroutes d’énergies au départ de la RDC.

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Réhabilitation d’Inga  II

Inga III : l’étape transitoire vers le Grand Inga

La réalisation de la centrale hydroélectrique Inga III, selon le gouvernement de la RDC,  nécessite une enveloppe globale de 8 milliards USD. Selon l’étude de préfaisabilité que nous nous sommes procurés, la centrale aura une puissance installée de 4320 MW, soit deux fois plus que la puissance des centrales Inga I et Inga II réunies.

La hauteur de la chute sera de 70 mètres, les conduites d’amenées d’eaux auront 13 mètres de diamètre  et une longueur de 6700 mètres, avec 16 tunnels. Son débit sera de 6600 m3 par secondes.

Ainsi, Inga III permettra d’augmenter les exportations d’électricité jusqu’à 20 TWh, contre 2 TWh actuellement. Il pourrait générer des revenus annuels de plus d’1 milliard USD.

Jusque là, les potentiels investisseurs se font toujours attendre en dépit de quelques sollicitations aléatoires. La plupart d’entre eux viennent des pays émergents d’Asie, principalement de Chine et d’Inde, mais qui n’ont pas encore pris d’engagements fermes relatifs à la signature d’accords officiels avec le gouvernement de la RDC. Toutefois, au début de cette année, ce dernier a procédé à un appel à manifestation d’intérêt pour la construction de la centrale.

Le partage des connaissances et des expériences 

Le Ministère congolais de l’énergie a organisé au mois de janvier dernier un atelier national préparatoire au lancement de l’étude de développement du site hydroélectrique d’Inga et des lignes d’interconnexions associées. Ces assises, auxquelles ont pris part les partenaires nationaux et étrangers avaient pour but le partage des connaissances et des expériences sur le développement de grandes infrastructures énergétiques en Afrique. Il s’en est suivi la création d’un groupe de travail, présentement actif à Kinshasa, en vue de réaliser de nouveaux  aménagements de production d’électricité et transport vers les provinces et les pays de la sous-région. Le délégué du gouvernement à ces assises a exhorté les investisseurs, tant nationaux qu’étrangers, à participer à la transformation des ressources énergétiques de la RDC, particulièrement Inga III et le Grand Inga considérés comme un axe prioritaire du programme gouvernemental.

Vers un montage PPP

Dans ce but, la RDC s’est ouverte au partenariat public-privé en adhérant aux différentes organisations sous-régionales et régionales du secteur de l’énergie électrique, notamment le pool énergétique de l’Afrique australe (SAPP), le pool énergétique de l’Afrique centrale (PEAC), et le pool énergétique de l’Afrique de l’est (EAPP). Il sied de rappeler que les deux premières organisations sont opérationnelles dans le partage de l’énergie hydroélectrique produites sur le territoire congolais en particulier par les deux centrales existantes Inga I et Inga II.

Etudes à finaliser

On constate aujourd’hui davantage de visibilité sur le projet Inga III. D’une part, une étude de préfaisabilité a été réalisée en 2009 par l’entreprise canadienne SNC-Lavalin. Les récentes publications du Ministère congolais de l’énergie renseignent également qu’une étude de BNP Paribas, sur financement de la Banque mondiale, était en cours depuis 2010 sur la faisabilité financière du site Inga III.  C’est dans ce cadre que le gouvernement plaide désormais pour la mobilisation de 35 millions USD destinés à finaliser toutes les études dans un délai de 18 mois. Les travaux de construction devraient ensuite s’étendre sur une période comprise entre 8 à 10 ans. Toutefois, d’autres sources affirment que l’étude de faisabilité du complexe d’Inga III pourrait démarrer cette année sur un financement de 15 millions USD de la Banque africaine de développement.

Inga III, pour la RDC ou pour l’Afrique australe ?

A travers la Société nationale d’électricité (SNEL), le gouvernement congolais a opté pour la politique d’électrification de localités des pays voisins.

La mise en exploitation du barrage d’Inga III devrait donc engendrer des retombées bénéfiques, essentiellement pour les populations locales et la communauté nationale. Les industries locales de transformation, manufacturières et agroalimentaires pourront également bénéficier des opportunités de relance qu’offre la mise en service d’Inga III.

Parmi elles, le consortium australo-britannique BHP Billiton veut construire dans la province du Bas Congo une usine d’aluminium qui aura besoin, dans sa seule première phase opérationnelle, de 2000 MW. Ce projet est toutefois contesté par de nombreuses ONG qui veulent assurer la priorité de la fourniture d’électricité aux populations et à l’économie locale.

De plus, loin de faciliter le bouclage du financement du projet Inga III, étape transitoire vers le grand Inga, l’entrée en scène de ce consortium minier semble plutôt l’avoir compliquée, puisque les pays riverains, auparavant disposés à participer au financement du projet se sont désolidarisés du programme, dès lors que le gouvernement congolais a montré sa détermination a privilégier les ménages et ses industries locales.

Ces pays pourraient être tentés de développer des centrale hydroélectriques alternatives sur des cours d’eaux tels que le Zambèze, qui traverse la Zambie et le Zimbabwe, le Kwanza en Angola (6000 MW) et le Kunene en Namibie (1600 MW).

Il n’empêche, assure-t-on à Kinshasa, que, par la suite, le projet du Grand Inga ne devrait pas manquer de financements puisque les déficits structurels en énergie de grands pays tels que l’Afrique du Sud, le Nigéria, l’Egypte ou l’Angola garantissent tout l’intérêt du projet.

Le Grand Inga, un projet à la dimension du continent

Le Grand Inga permettra d’exporter rapidement 20000 MW, dont 6000 vers le Nigéria, 4500 vers l’Afrique australe et près de 10000 MW vers le groupe Tchad-Soudan-Egypte, avec quasiment les 2/3 pour ce dernier pays. L’ouvrage a de quoi impressionner. Même les ingénieurs chinois blasés par la présence en leur pays de l’immense barrage hydroélectrique des Trois Gorges, s’inclinent devant le gigantisme du projet.

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Les chutes de Zongo, quelques kilomètres en amont d’Inga.

Si d’aucuns ont raillé l’incapacité de l’Afrique, un continent accablé par toutes sortes de maux, à conduire à son terme un projet de cette envergure, les spécialiste eux, rassurent. Les retards enregistrés dans la réalisation de ce projet conçu dans les années 80 tenaient essentiellement à des contingences liées à l’instabilité politique du pays.

De fait, assurent-t-ils, le projet du Grand Inga est à la fois réaliste et rentable. Il s’agit simplement d’élever le plus grand barrage hydroélectrique du monde en République démocratique du Congo, avec un rendement prévisionnel en énergie estimé à 39000 mégawatts grâce à l’installation progressive de 52 groupes de 750 MW chacun. Les ouvrages de génie civil seront entièrement construits d’un coup, mais les équipements électromécaniques seront installés, au fur et à mesure de l’évolution de la demande.

500 millions de foyers

L’énergie attendue représente le tiers de toute l’électricité produite actuellement sur le continent noir où le taux d’accès des populations à l’électricité varie de 10 à 30%. Le projet Grand Inga pourrait donc apporter une évolution décisive, en alimentant quelques 500 millions de foyers. En outre, cet immense chantier énergétique résorberait la pénurie énergétique d’Afrique du Sud, alimenterait la Namibie au passage, apporterait un appoint décisif à l’Egypte et au Nigéria, et surtout soutiendra l’industrialisation du de la RDC, notamment dans le secteur minier. De fait des instances telles que la Communauté de Développement d’Afrique Australe (SADC), le Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique (NEPAD) et le Conseil Mondial de l’Energie (CME) ou encore le pool énergétique de l’Afrique centrale, considèrent que c’est un projet prioritaire pour le continent.

Un prix de revient très compétitif

Le principal atout du projet, soulignent les experts, c’est justement qu’il produira de l’énergie propre et bon marché. Pour ses concepteurs, ce projet est une aubaine, tant pour le pays hôte que pour les potentiels clients. Par exemple, le prix de revient de l’électricité produite serait inférieur à 0,015 USD/kWh, ce qui rend sa commercialisation compétitive sur des longues distances donc, en Afrique du Sud, au Nigeria et même en Egypte. D’autre part, une fois mis en place, le projet Inga aura une production électrique constante, car quel qu’il soit, le débit du fleuve qui varie de quelque 25 000 à 75 000 m3/s permettra aux turbines de tourner à un régime constant. Enfin, explique cet expert, l’autre avantage est que l’équipement du site, ainsi que les investissements, peuvent se faire progressivement : « Les ouvrages de génie civil y sont relativement modestes: en effet pour retirer une production annuelle de 1 million de kWh, on ne devrait mobiliser que 52 m3 de béton (ou équivalent) alors que sur les meilleurs sites mondiaux on atteint 250 à 1 000 m3. Il en résulte un coût d’investissement très bas, de 340 à 700 USD/kW selon le stade d’équipement », analyse le Bureau d'Etudes Industrielles Energies Renouvelables et Environnement.

Les autoroutes de l’énergie

Autant que le gigantisme du barrage et de ses centrales, le réseau de transport projeté est tout aussi impressionnant : il est prévu la construction de près de 15 000 km de lignes de transport d’énergie à très haute tension (THT), dénommés « Autoroutes de l’électricité au départ du site d’Inga », pour alimenter les pays clients : selon les étude menées par la banque africaine de développement qui finance les études de faisabilité, la liaison « THT » RD Congo-Egypte longue de 5300 km avec une tension de 800 kV en courant continu couterait 5,7 milliards USD permettant au passage d’alimenter le Soudan, la République centrafricaine et le Tchad. Quant à la liaison « THT » de 1400 km entre la RDC et le Nigéria, via le Congo, le Gabon et le Cameroun, elle fait l’objet d’un accord entre le Lagos et Kinshasa, avant même la construction du barrage. La liaison RD CONGO-Zambie-Zimbabwe-Afrique du Sud, longue de 3676 km fera simplement l’objet d’un renforcement, car des lignes de transport existent déjà, tout comme pour la liaison RD Congo-Angola-Namibie-Afrique du Sud longue de 2734 km de ligne à 800 kV avec une capacité de transit de 3500 MW.

Rentabilité importante

C’est assurément son grand potentiel de rentabilité qui motive l’intérêt de nombreuses structures (Banque mondiale, Banque africaine de développement, Banque européenne d'investissement, Union européenne, banque privée occidentales, organismes régionaux) pour le financement de ce projet qui va mobiliser 80 milliards de dollars au bas mot.

Preuve de l’intérêt croissant du projet, il y a deux ans, un atelier international de haut niveau s’est réuni à Londres pour examiner les modalités de financement du projet.

Ce conclave a enregistré la présence de près de 80 participants de haut niveau, dont des ministres et de hauts responsables gouvernementaux, des sociétés d’électricité, des grandes sociétés d’énergie, des fournisseurs, des développeurs de projet, des institutions financières, de grands groupes de consommateurs et des représentants de la société civile, sous l’égide du Conseil mondial de l’énergie.

Si un plan de financement définitif n’en n’est pas sorti, l’unanimité a définitivement été faite sur l’opportunité du projet, son financement n’étant plus suspendu qu’à la finalisation des études de faisabilité. Reste à savoir si les grands projets solaires envisagés dans le Maghreb ne vont pas rogner le marché de ce projet pharaonique.

Le site récemment remis en question

Le canadien RSW International, cabinet conseil en hydro-énergie, et EDF, opérateur public français de l’énergie, recrutés par la SNEL pour la mise en œuvre d’une « étude de développement du site hydroélectrique d’Inga et des interconnexions électriques associées », préconiseraient un autre site pour la construction du Grand Inga, toujours sur le fleuve Congo.

 

Des conséquences environnementales à intégrer

L’hydroélectricité étant considérée comme l’énergie verte par excellence, on serait tenté d’en déduire que le grand Inga est projet vert. Ce n’est pas l’avis de tout le monde. Si l’unanimité est faite sur l’opportunité de ce grand projet pour l’alimentation de la région en énergie avec un impact direct sur la qualité de vie, les emplois et la croissance économique, le militants environnementaliste n’apprécient guère les « dégâts » qui pourraient résulter de la construction des cet ouvrage titanesque.

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Comment maîtriser la puissance du fleuve Congo ?

Dégradation de l’écosystème

Sachant que ce projet hydroélectrique pourrait entrainer la modification du cours du fleuve Congo dans une vallée avoisinante, ses effets sur l’environnement et la biodiversité vont bien au-delà des inondations classiques qui dépeuplent les régions. Le fleuve Congo se jette dans la vallée d’Inga avec un dénivelé de 102 m, ce qui représente déjà une grande pression. Il est question, pour le Grand Inga, de détourner cette arrivée vers la vallée de Bundi, qui servira de réservoir de mise en charge de la grand centrale. Selon le Programme des Nations Unies pour l’environnement, du fait de leur envergure et de leur hauteurs, les installations du Grand Inga «  constitueraient une barrière permanente et insurmontable pour les poissons migrants : de fait l’écosystème du fleuve Congo serait divisé en deux parties. Cela aurait des impacts multiples, dont une diminution générale de biodiversité ».

Conséquences sanitaires

D’autre part, ajoute le même organisme, le barrage du courant entrainerait la rétention d’une partie du volume énorme des fins sédiments charriés par le fleuve. Ces sédiments sont la base alimentaire de l’écosystème local et des poissons en aval, au niveau du parc national de la Mangrove, de l’embouchure du fleuve et des parties adjacentes de l’océan Atlantique. Les conséquences sont difficiles à prédire, mais seront assurément négatives.

Enfin, souligne le PNUE, certains impacts, relativement moindres mais non négligeables, pourraient affecter le site du barrage même. Des zones importantes d’habitations (généralement dégradées ou de mauvaise qualité) seront submergées, et l’eau stagnante entraînera, selon toute vraisemblance, une exposition de la population aux dangers de la mouche noire, un insecte nuisible local.

Moindre mal

Pour le PNUE, « ces conséquences et ces risques clairement négatifs devront être atténués et évalués en considérant les énormes bénéfices socio-économiques qui pourraient résulter de ce projet. De plus, d’un point de vue stratégique il est évident que l’Afrique a besoin d’énergie, on préférera donc une énergie propre. Les solutions alternatives à cette production potentielle de 40000MW à Inga seraient des centrales électriques utilisant des énergies fossiles (gaz, pétrole), ce qui contribuerait à une émission massive de gaz à effet de serre ». Le dilemme…

Ces considérations environnementales vont à coup sûr tirer à la hausse le cout estimatif de mise en place, qui n’était déjà pas léger. Il fallait déjà trouver 80 milliards de dollars pour la construction, et il est désormais acquis que la prise en charge des questions environnementales va alourdir le besoins financiers du projet.

 
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