(Agence Ecofin) - La Banque centrale angolaise (Banco National de Angola) a indiqué des réserves de change de 30 milliards $, dont 26 milliards libellés en devises internationales.
Le deuxième producteur africain d’hydrocarbure après le Nigeria a réalisé en 2010 un PIB de 83,44 milliards $ avec un secteur pétrolier qui pèse 40% du PIB, qui réalise 95% des exportations et qui génère 2/3 des recettes publiques. Cette forte dépendance au pétrole expose le pays à des chocs budgétaires en cas de retournement du prix des hydrocarbures.
Après 27 années d’un conflit armé, qui s’est achevé en 2002, « la stabilité » a permis à l’Angola de commencer à valoriser un potentiel économique exceptionnel avec le pétrole, le gaz, le diamant, l’agriculture (premier pays africain agricole en 1975), halieutique, fer, cuivre, manganèse, phosphate, uranium, hydroélectricité…
Réserves de la Banque Centrale d’Angola en avril 2012
Abidjan, Côte d'Ivoire. Une plateforme de mise en relation entre les entreprises allemandes et leurs homologues de l’Afrique francophone.